Bibliothèque du 7e Jean Macé

Le Trois-Sept du mois de mai 2023

Un livre, une bande-dessinée, un film, une expo... Chaque mois, partageons ce que nous avons lu ou vu !
Proposé par les bibliothèques du 3ème Duguesclin et 7ème Jean-Macé.

Le samedi 27 mai à la bibliothèque du 7e Jean-Macé, nous avons parlé des livres et films suivants :

FILM
Irlande, 1981. Une jeune fille effacée et négligée par sa famille est envoyée vivre auprès de parents éloignés pendant l’été. Elle s’épanouit avec eux, mais dans cette maison où il ne devrait pas y avoir de secrets, elle en découvre un…


Exilée à Rome, Barni voit son passé resurgir : un jeune Somalien grièvement blessé arrive à l’hôpital et ne peut communiquer avec personne – à part elle ? En tentant de découvrir qui il est, elle renoue avec tout un pan de son histoire, et retrouve miraculeusement sa complice de toujours, sa cousine Domenica. Elles se souviennent de Mogadiscio, des années d’adolescence et de la vie qui s’offrait à elles, avant que la guerre civile éclate et que leur univers se disloque…

FILM
Depuis 2014, en France, la Justice Restaurative propose à des personnes victimes et auteurs d’infraction de dialoguer entre eux dans des dispositifs sécurisés. Nassim (Dali Bensalah), auteur de homejacking, comme Chloé (Adèle Exarchopoulos), victime de viols incestueux, s’engagent l’un et l’autre dans une mesure de Justice Restaurative. Autour d’eux : d’autres victimes, d’autres auteurs et des encadrants composés de professionnels et de bénévoles. Sur leur parcours, il y a de la colère et de l’espoir, des silences et des mots, des alliances et des déchirements, des prises de conscience et de la confiance retrouvée... Et au bout du film, des réparations intimes individuelles, enfantées par la rencontre de ces individualités.

FILM
L’Adamant est un Centre de Jour unique en son genre : c’est un bâtiment flottant. Édifié sur la Seine, en plein cœur de Paris, il accueille des adultes souffrant de troubles psychiques, leur offrant un cadre de soins qui les structure dans le temps et l’espace, les aide à renouer avec le monde, à retrouver un peu d’élan. L’équipe qui l’anime est de celles qui tentent de résister autant qu’elles peuvent au délabrement et à la déshumanisation de la psychiatrie.

À deux heures de Paris, quelque part entre Blois et Chambord, la clinique psychiatrique de La Borde n’est pas une institution ordinaire. Ici, le premier des droits est celui de vagabonder. Pas de blouses blanches non plus. Rien qui distingue à priori les soignants des soignés.
À La Borde, soigner ce n’est pas seulement donner des médicaments, c’est prêter attention au moindre détail, prendre soin du quotidien et redonner son sens premier au mot "asile" : celui d’un abri contre le danger.

FILM
Né en 1946 à Paris, Gérard Garouste, peintre et sculpteur, vit et travaille entre Paris et la Normandie.
Son œuvre se nourrit d’une réflexion sur les figures mythiques qui traversent l’art et la littérature occidentale, du personnage d’Orion à La Divine Comédie ou Don Quichotte ; son travail pictural, qui prend naissance dans l’imaginaire, s’inscrit dans une tradition que l’artiste dit classique et nous invite à décrypter des références et des influences.

FILM
Quand Blanche croise le chemin de Grégoire, elle pense rencontrer celui qu’elle cherche. Les liens qui les unissent se tissent rapidement et leur histoire se construit dans l’emportement. Le couple déménage, Blanche s’éloigne de sa famille, de sa sœur jumelle, s’ouvre à une nouvelle vie. Mais fil après fil, elle se retrouve sous l’emprise d’un homme possessif et dangereux.