Florus, nouvelles du patrimoine de la BmL

Florus tire son nom d’un diacre et intellectuel lyonnais du IXe siècle, se donne pour mission de faciliter l’appréhension de ces collections nombreuses, diverses, aux strates entremêlées et toujours en mouvement.

Chaque numéro sera organisé en quatre parties.

• « Enrichir » signale les nouveautés, non seulement les achats ou les dons de l’année précédente, mais aussi des collections plus anciennement acquises mais récemment cataloguées.
• « Chercher » se propose de faire le point sur des instruments de recherche, leur histoire, leur logique, la façon de les utiliser.
• « Approfondir » vise à décrire des collections déjà traitées, mais parfois méconnues ou ayant fait l’objet de très peu d’études.
• Des brèves qui permettent de garder mémoire des événements particuliers touchant les collections patrimoniales de la BmL.

Des versions papiers peuvent être envoyées sur demande au contact indiqué.
Elle remplace Gryphe, paru entre 2000 et 2021.

Florus, n°1 (2023)

Edito

Les collections forment le cœur des bibliothèques. Vivantes, elles s’accroissent et circulent dans les mains des bibliothécaires qui les constituent comme dans celles des publics qui les utilisent. Les collections patrimoniales n’échappent pas à la règle, bien au contraire, et c’est précisément l’objectif de cette nouvelle revue que d’en rendre compte.

Elle se place sous le patronage de Florus de Lyon, diacre du IXe siècle au service des évêques de Lyon, et intellectuel reconnu pour son expertise sur les livres et la transmission des textes. Florus remplace ainsi Gryphe, revue qui proposait un espace d’étude et de valorisation du patrimoine et portait le nom d’un imprimeur lyonnais de la Renaissance.

D’abord à destination des usagers du patrimoine écrit et graphique de la bibliothèque municipale de Lyon (BmL), Florus se donne pour mission de faciliter l’appréhension de ces collections nombreuses, diverses, aux strates entremêlées et toujours en mouvement. Pour cela, chaque numéro sera organisé en quatre parties. « Enrichir » signale les nouveautés, non seulement les achats ou les dons de l’année précédente, mais aussi des collections plus anciennement acquises mais récemment cataloguées. « Chercher » se propose de faire le point sur des instruments de recherche, leur histoire, leur logique, la façon de les utiliser. « Approfondir » vise à décrire des collections déjà traitées, mais parfois méconnues ou ayant fait l’objet de très peu d’études. Enfin, quelques brèves permettent de garder mémoire des événements particuliers touchant les collections patrimoniales de la BmL.
Benjamin Ravier-Mazzocco