La guerre omniprésente
Loin des champs de batailles, le quotidien des civils est tout de même marqué par la guerre. Hommes et femmes sont mobilisé(e)s pour répondre à l’effort de guerre en travaillant dans les usines d’armement, de construction automobile…
La guerre est ainsi omniprésente et toute l’économie est tournée vers elle. Le quotidien s’en ressent à travers les privations, les réquisitions et chacun doit ainsi s’adapter au rythme de la guerre. Celle-ci s’immisce également dans la culture, dans les salles de spectacles, dans les productions littéraires et même dans l’éducation des plus jeunes.
La propagande prend ainsi de multiples formes afin de soutenir le moral du front comme de l’arrière. La guerre s’ancre également dans le paysage et dans la toponymie de la ville. La mémoire du conflit est ainsi entretenue sur les plaques des rues, sur la pierre des monuments aux morts et dans la vie de millions de familles endeuillées par la perte d’un de leur membre.
