Pour la première fois donc à Lyon (et en France), le cap des 4 millions de prêts a été dépassé, très exactement 4 174 899. Ce résultat exceptionnel est dû à un ensemble de facteurs qu’on doit énumérer mais il importe avant tout de souligner l’importance de cet indicateur (même si d’autres existent et qui ont aussi leur importance).
En effet, le projet d’établissement s’est construit en opposition à une déploration commune concernant le livre, et plus précisément, la fin du livre, de la lecture…
Il n’en est rien à Lyon, bien au contraire, et ce sont même tous les indicateurs d’activité qui sont positifs (fréquentation, inscriptions).
L’ouverture des trois nouvelles médiathèques joue à plein bien évidemment ; l’automatisation aussi qui a permis aux équipes de mener un programme global d’accompagnement des usagers et de réponse à leurs attentes documentaires qui va de la suggestion d’achat au débat de proximité, de la délectation intime de la lecture à l’échange citoyen d’idées.
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